NIKOS KAZANTZAKI
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YVETTE RENOUX-HERBERT
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Amis
et mécènes
Photographies trouvées chez Jean Herbert.
Auteur inconnu.
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De
l'écriture d'Eléni : "Bili
(ou Bibi) de mauvaise humeur".
Il s'agit de Bilili, la compagne
de Panaït Istrati. Les Kazantzaki firent avec ce couple, en 1927, un
voyage en Russie, raconté par Eléni
dans La véritable tragédie de Panaït Istrati (voir rubrique
"Bibliothèque"):
"Et
je parlerai aussi de la très douce Bilili, Bilili la silencieuse, aux
yeux sévères de madone byzantine, la compagne de ces jours fertiles en
bonheur, en événements tristes, en nobles idées..." (p. 19)
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Jean
Herbert et Miss Joséphine Macleod. Photographie de 1938, prise
probablement en Inde. Les suivantes datent probablement aussi de 1938.
Miss MacLeod
(1858-1949), était disciple de
Vivekananda, que Jean Herbert fit connaître par ses traductions et ses
commentaires. A partir de ce premier lien, ils entretinrent une amitié et
une correspondance pendant toute leur vie. Elle finança les premières
éditions de Jean Herbert. Celui-ci s'adressait toujours à elle par son
surnom "Tantine".
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L'amitié
de Jean Herbert avec le couple Kazantzaki débute dans les années 1928-1930,
jusqu'à sa mort en 1980.
Jean Herbert mit
Miss MacLeod en contact avec Eléni
pour que celle-ci traduise en grec des textes de Vivekananda. C'est ainsi
que Miss MacLeod connut Nikos... et finança la publication de L'Odyssée.
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En Angleterre, elle
avait acheté la maison de Susanna, la fille de Shakespeare. Kazantzaki décrit
la maison et sa propriétaire dans son récit de voyage England (voir rubrique
Bibliothèque/Textes inédits + note finale de la traductrice, Yvette
Renoux-Herbert) :
"Sa silhouette était fine, élancée, ses yeux d'un bleu lumineux,
son menton volontaire, son sourire grave et méditatif. Jamais je n'avais
vu une telle vitalité, un besoin si insatiable de voir et d'entendre, une
victoire si évidente de l'être humain dans sa conquête sur le
temps."
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Antibes |
Les
Kazantzaki habitèrent cette première maison pendant un an.
Au dos de la photo est écrit d'une
écriture inconnue: "Eléni devant la "Maison Rose" à
Antibes".
Photo trouvée dans les papiers de
Jean Herbert. Auteur inconnu.
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"Villa
Manolita", leur deuxième résidence. Avec commentaire de la
main d'Eléni. |
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A
gauche :
1948,
villa Manolita. Photographie prise par Robert Renoux, mari d'Yvette
Renoux-Herbert.
Kazantzaki la commentait ainsi dans une
lettre du 15-11-1948 adressée à Yvette Renoux-Herbert (voir rubrique Manuscrits inédits) :
"Merci des photos ; elles sont
vraiment belles, malgré le broc..."
A droite :
1948, Antibes. Photo
inédite (kodachrome) trouvée dans les papiers de
Jean Herbert. Auteur inconnu. |
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1949, villa Manolita.
Nikos avec Eléni ; Nikos avec Eléni et Yvette Renoux-Herbert ; Eléni. Photographies prises par Robert Renoux. |
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La troisième résidence des
Kazantzaki à Antibes, sur les
remparts de la ville, surnommée par Nikos
"le Cocon", ou "Koukouli". Ils y emménagèrent en
1954.
Avec Eléni, dans le bureau de
Nikos. Date et auteur inconnus. |
Médaille |
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Médaille offerte
par Eléni à Yvette Renoux-Herbert à sa parution en 1971 (Eléni lui offrait toujours
tout ce qui paraissait de
Kazantzaki, au fur et à mesure).
Au verso, hache à deux tranchants, symbole de Cnossos, un des emblèmes
de Nikos Kazantzaki.
Artiste : B. Raftopoulou. |
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LES AMIS DE NIKOS KAZANTZAKI
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